FESTIVAL DES LANGUES FRANÇAISES
Le théâtre a d’autres mots à dire
Depuis 7 éditions, le Festival des langues françaises explore la richesse de la langue française parlée partout dans le monde, à travers des textes de théâtre écrits par des auteurs et autrices contemporain·es, venu·es des quatre coins du globe.
Quatre jours durant, auteurs et autrices de théâtre de différents pays seront mis·es à l’honneur à travers une série de formes courtes présentées par des artistes et compagnies normandes.
Par sa vitalité et sa convivialité, le festival est un lieu de fête, une célébration où la diversité de la langue française se fête au pluriel ! »
Direction du CDN de Normandie-Rouen
Chaque année, le ou la lauréat·e du Prix RFI Théâtre est l’invité·e du Festival des langues françaises.
Il est organisé en partenariat avec Les Francophonies de Limoges – Des écritures à la scène, le CDN de Normandie-Rouen, la SACD, l’Institut français, le Théâtre Ouvert et la Villa Ndar à Saint-
Louis du Sénégal. Le texte lauréat ouvrira la 13ème édition du cycle de lectures “Ça va, ça va le monde !” proposé en juillet 2025 par RFI dans le cadre du Festival d’Avignon.
ENFANT de Gad Bensalem
Le Festival des langues françaises s’engage pour le soutien et l’accompagnement des écritures théâtrales francophones à travers sa participation au programme « Textes en scène » en collaboration avec le Centre Culturel de Rencontre International John Smith à Ouidah (Bénin) & le Centre national des écritures scéniques La Chartreuse à Villeneuve-lès-Avignon.

Jeanne Diama (Mali) pour la pièce Quai 12 (titre provisoire) :
Sur un quai de gare de Bamako, une jeune femme tente de maintenir un contact avec sa famille et sa communauté (au Nord Mali) qu’elle n’a jamais réussi à quitter.
Un couple raconte ouvertement à un public « invité » leur relation, leur quotidien, et leur fille mystérieusement partie.
Andrise Pierre (Haïti) pour la pièce Le Chêne endormi :
Une jeune femme, écrivaine, revient sur l’histoire de son père, décédé récemment. Une histoire terrible faite de violence, connue dès l’enfance, qui donne à cette réconciliation post-mortem toute sa complexité.